Le PJGN est composé de 560 personnes réparties dans plusieurs services :
Ce laboratoire pluridisciplinaire met à disposition des capacités d’expertise inédites en France. Accrédité par le Comité français d’Accréditation (portées n°1-1916 et 8-2527 disponibles sur www.cofrac.fr), il regroupe sur un seul site toutes les activités liées à la criminalistique. Il couvre ainsi des domaines relevant de la physique-chimie, de l’ingénierie-numérique, de la médecine légale, de l’identification humaine et de la biologie génétique.
Ce centre constitue l’échelon national de l’Institution, pour le traitement de l’information utile à la lutte contre la délinquance. Il assure aujourd’hui l’administration opérationnelle des fichiers judiciaires de l’Arme, élabore le renseignement dans tous les domaines de la criminalité et appuie les unités dans les enquêtes les plus complexes. Tirant partie de sa forte expérience et de l’expertise complémentaire détenue par ses personnels scientifiques, ce service s’engage désormais dans l’intégration de nouveaux outils de traitement de données de masse et de modèles d’analyse prédictive.
Ce centre assure le pilotage et l’appui spécialisé dans la lutte contre la cybercriminalité et les criminalités numériques de façon plus générale. Il mène ou coordonne les investigations de la gendarmerie d’ampleur nationale ayant trait à cette nouvelle forme de délinquance et réalise une surveillance des espaces publics de l’Internet pour y détecter et collecter les preuves des infractions qui peuvent s’y dérouler.
Cet entité est chargée d’anticiper le développement numérique dans les modes de transport et les infrastructures dédiées. L’OCSTI est une force de proposition en matière d’évolution de la sécurité routière (véhicule autonome par exemple) et de sûreté (prévention d’actes malveillants).
Ce service est composé de personnel de soutien comme des secrétaires, informaticiens ou encore transmetteurs. Il est chargé de synthétiser l’information, d’aider à la décision, d’organiser ou encore de planifier.